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Objets dynamiques : 10 bonnes raisons de les utiliser

Dans Photoshop, un objet dynamique ou calque dynamique est un calque qui a des propriétés particulières. C’est un calque dont le contenu d’origine est préservé. Ainsi toutes les modifications ou les transformations appliquées à ce calque sont réversibles : il sera toujours possible de revenir à l’état initial du calque. Les modifications ne sont pas destructives comme sur un calque normal.
C’est le principal avantage des objets dynamiques mais ils y en a d’autres… l’article aurait aussi pu s’appeler : pourquoi utiliser les objets dynamiques ou utilités des objets dynamiques. Cet article vous donne 10 bonnes raisons d’utiliser les objets dynamiques (pour des explications pas à pas sur comment utiliser les objets dynamiques, je vous renvoie à l’article intitulé : créer et modifier un objet dynamique). Nous passerons sur les possibilités partagées avec les autres calques « normaux » comme l’ajout de styles ou d’un masque de fusion, pour nous concentrer sur leurs particularités, leurs différences avec les autres calques.

Cet article a été préparé sur Adobe Photoshop CS6 extended (Version 13) mais peut s’appliquer aux autres versions de Photoshop (les objets dynamiques ont fait leur apparition à partir de Photoshop CS3).
Dans cet article j’utiliserai indistinctement le terme « objet dynamique » ou « calque dynamique » puisqu’ils ont la même signification.

Réaliser des transformations sans perte de qualité

Avec un objet dynamique, si vous réduisez la taille du calque puis vous revenez à sa taille d’origine, l’image n’aura subi aucune perte de qualité, elle sera toujours bien nette. La même opération sur un calque « normal » entraînera une perte de qualité, une pixellisation, une perte de netteté.

Explication par un exemple :
Si dans un premier temps, vous réduisez (menu « Edition – transformation manuelle ») une image de 800×800 pixels, a une image de seulement 100×100 pixels : on perd beaucoup de pixels, donc d’informations. Toutefois, lors d’une réduction, l’image, si elle est plus petite, restera bien nette. Si dans un second temps, vous changez d’avis et estimez que l’image a été trop réduite, vous voulez finalement l’agrandir à nouveau en passant à une dimension de 700×700 pixels.
Si votre image n’a pas été convertie en objet dynamique, vous repartez de l’image réduite (de 100×100) pour en faire une image plus grande de 700×700 : le logiciel devra extrapoler et inventer des pixels qui n’existent pas. Il y aura perte de qualité, l’image sera pixelisée comme sur la partie gauche de l’image ci-dessous. Ensuite, à la validation de la transformation, pour éviter cet effet de pixellisation, Photoshop va appliquer un effet de lissage qui va rendre floue la photo. La photo a perdu sa netteté.
A l’inverse, si cette même image avait été au préalable convertie en objet dynamique (lorsqu’elle avait sa taille d’origine), même si vous êtes en train d’agrandir une image qui fait 100×100 pixels à l’affichage, en réalité Photoshop ne va pas repartir de cette image réduite, mais de l’image d’origine (800×800 pixels) qu’il a gardé en mémoire. Dans ce cas, il a plus d’informations que nécessaire pour transformer l’image. L’image de 700×700 pixels sera parfaitement nette (Le logiciel n’a pas à inventer des pixels mais juste à en supprimer certains en trop).

Redimensionnement d'une image : calque classique et calque dynamique

Les transformations applicables de manière non destructive sont celles du menu « Edition » :

  • Déformation de la marionnette
  • Transformation manuelle
  • Transformation (avec l’ensemble des actions du sous-menu : les rotations, les symétries, l’homothétie, l’inclinaison, la torsion, la perspective et la déformation)

Bref, avec un objet dynamique, vous allez pouvoir réduire, agrandir, pivoter, incliner, étirer, tordre ou déformer une image dans tous les sens en gardant toujours une qualité optimale !

Attention, il existe une exception dans le menu édition : avec un calque dynamique, la transformation « Echelle basée sur le contenu » ne pourra pas être lancée. Elle sera inaccessible, en grisée.

Appliquer des filtres de manière dynamique

A partir du moment où un calque est converti en objet dynamique, la plupart des filtres peuvent être appliqués de manière dynamique (de manière non destructive). Le fonctionnement est un peu comparable à celui des calques de réglages : il est possible de modifier les réglages à volonté en préservant l’image d’origine. C’est la même chose pour les filtres dynamiques. Vous pouvez à tout moment choisir de modifier les paramètres du filtre, d’appliquer ou non l’effet du filtre sur votre calque. Et si vous supprimez finalement le filtre du calque vous retrouvez votre image d’origine.
A l’inverse avec un filtre appliqué directement sur un calque « normal », l’effet du filtre est appliqué et l’image est irrémédiablement transformée (l’image d’origine est perdue). Si finalement l’effet du filtre ne vous convient pas, vous n’avez plus votre image initiale, vous avez seulement l’image modifiée… donc si vous appliquez à nouveau le filtre avec d’autre réglages ce ne sera pas sur l’image d’origine mais sur une image déjà transformée…Autrement dit, pour simplement modifier les réglages du filtre, vous devez repartir de zéro : soit revenir en arrière (par le menu édition ou l’historique) en admettant que vous n’ayez pas effectué d’autres actions importantes entre temps, soit supprimer votre calque, récupérer à nouveau votre image d’origine puis relancer le filtre avec de nouveaux réglages…
Les filtres dynamiques vous simplifient la vie et vous apportent une grande souplesse d’utilisation.
Toutefois quelques filtres ne peuvent pas être appliqués de manière dynamique. Dans ce cas, pensez à faire une copie de votre image d’origine avant de lui appliquer un filtre non dynamique.
Pour connaître la liste des filtres non compatibles avec les objets dynamiques, la manière de les créer, de les modifier, vous pouvez consulter l’article « les filtres dynamiques sous Photoshop » qui leur est consacré.

Modifier vos fichier RAW par les objets dynamiques

Si l’on ouvre un fichier RAW en tant qu’objet dynamique, Photoshop gardera en mémoire la nature de ce fichier. Ainsi, lorsque l’on choisira de modifier l’objet dynamique (menu « Modifier le contenu »), l’image sera ouverte dans Adobe Camera Raw. L’interface offrira toutes les possibilités de modifications non destructives propres aux logiciels de développement RAW. Une fois les changements validés, l’image modifiée sera à nouveau chargée dans votre document Photoshop.

Modifier vos fichiers vectoriels par les objets dynamiques

De même qu’avec un fichier RAW, un fichier vectoriel peut être modifié dans l’application ayant servi à le créer. Il suffit de choisir le menu « Modifier le contenu » du calque dynamique pour ouvrir le dessin vectoriel dans le logiciel adapté. Une fois les modifications validées, le dessin vectoriel mis à jour sera à nouveau visible dans Photoshop.

Cela suppose cependant d’avoir un logiciel de création graphique vectorielle comme Adobe Illustrator. Contrairement à Camera Raw, Adobe Illustrator n’est pas inclus dans Photoshop.

Créer des modèles avec les objets dynamiques

Le contenu d’un objet dynamique peut-être remplacé par un autre (menu contextuel du calque dynamique « Remplacer le contenu »). Cela signifie que vous pouvez très bien préparer un document, positionner tous les éléments de la composition, appliquer des effets de filtres, bref faire toute sa mise en forme avec une image donnée et choisir plus tard de remplacer cette image initiale par une autre.

Un exemple simple : vous créez un document avec une image A convertie en objet dynamique. Vous appliquez un filtre artistique à cette image, ajoutez une signature et autour vous allez créer un cadre. En partant de ce document Photoshop qui constitue votre modèle, vous pouvez tout simplement, en une simple opération, remplacer l’image A par l’image B en choisissant le menu « Remplacer le contenu ».

Par rapport à une composition avec des calques normaux, vous gagnez en rapidité, en simplicité et en souplesse. Vous pourrez par exemple adapter les effets du filtre à votre nouvelle image, déplacer voire redimensionner sans perte l’image si elle est plus grande que l’image initiale du modèle…

Modèle avec une photo convertie en objet dynamique

Document modèle (cadre, signature et filtre peinture à l’huile) avec une photo initiale

Même modèle précédent avec une nouvelle photo (contenu de l'objet dynamique remplacé)

Même modèle avec une autre photo (remplacer le contenu d’un objet dynamique)

Limiter l’étendu d’un calque de réglage

Si dans un document Photoshop, vous ajoutez un calque de réglage, l’effet de ce dernier va s’appliquer sur tous les calques situés en dessous de lui. Pour limiter son action à seulement certains calques, une méthode consiste à créer un objet dynamique à partir d’un ensemble de calques : sélectionnez le calque de réglage et les calques où l’effet devra s’appliquer puis convertissez cet ensemble de calques en objet dynamique. Par comparaison, la création d’un groupe de calques n’aura pas le même effet car, sauf création d’un masque d’écrêtage, le calque de réglage s’appliquera aussi sur les calques situés en dessous du groupe (le réglage ne sera pas limité aux seuls calques du groupe). Avec un objet dynamique contenant un calque de réglage, l’action du réglage ne s’étendra pas en dehors de l’objet dynamique.

Eviter la fusion d’un ensemble de calques

Certaines opérations ne peuvent être lancées que sur un seul calque (par exemple les filtres). Si l’on souhaite appliquer une telle action sur une image composée de plusieurs calques, il sera alors nécessaire au préalable de fusionner les différents calques pour n’en faire qu’un seul. L’inconvénient est que l’on perd les composants de construction de cette image. Si l’on s’aperçoit après fusion d’erreurs sur un élément constitutif de l’image, il sera souvent très difficile de corriger proprement le problème.

Prenons un exemple simple où le calque fusionné est issu d’une image et d’un calque texte. Avec la fusion, le texte a été intégré sous forme de pixels dans l’image finale. Si après fusion, nous devons finalement modifier le texte (changer un mot, changer la police, sa taille, sa couleur…), la disparition du calque de type texte va rendre une opération normalement très simple en une opération très délicate voire impossible…

La solution… vous l’avez deviné : sélectionner l’ensemble des calques constituant l’image et les convertir en un objet dynamique.

Pour reprendre l’exemple précédent, les 2 calques ont été transformés en un seul calque dynamique sur lequel il sera donc possible d’appliquer un effet comme, par exemple, un filtre (si vous avez bien suivi, vous savez donc qu’il s’agit d’un filtre « dynamique »). Et si vous devez modifier le texte, rien de plus simple, il suffit de modifier l’objet dynamique : vous allez retrouver votre calque texte d’origine…

Simplifier l’organisation de gros documents

Un peu sur le même principe que les groupes de calques, la conversion d’un ensemble de calques en un objet dynamique permet d’organiser et de rendre plus lisible les documents Photoshop présentant beaucoup de calques. A la différence des groupes où vous pouvez développer ou réduire le contenu directement dans le panneau des calques, avec les objets dynamiques vous devrez faire un double-clic (ou choisir le menu « Modifier le contenu ») pour visualiser et modifier les calques de l’objet dans un autre onglet ou une autre fenêtre.

Mettre à jour en une fois différentes occurrences d’un même objet lié

Si vous dupliquez un objet dynamique (menu « Calque – Nouveau – Calque par copier » ou plus simplement avec le raccourci CTRL + J), l’ensemble des calques dynamiques ainsi créés seront liés entre eux. Des traitements particuliers pourront être effectués de manière indépendante sur chacun des calques (redimensionnement, transformation, filtres…) mais toute modification faite sur l’objet dynamique lui-même (par un double-clic ou le menu « Modifier le contenu ») sera automatiquement répercuté sur les autres.

Un exemple pour bien comprendre : sur une plaquette si vous utilisez un logo d’entreprise, vous pouvez par exemple l’avoir en haut de la page et le retrouver en plus petit en bas de page. En ayant pris soin de passer par un objet dynamique et en l’ayant dupliqué pour le faire apparaître à deux endroits dans le document, non seulement vous allez pouvoir le redimensionner sans perte de qualité mais aussi, si vous décidez de la modifier (par exemple changer sa couleur), les changements seront pris en compte automatiquement en haut en bas du document. Dans notre cas vous avez deux représentations de tailles différentes d’un même logo, d’une même source (d’ailleurs vous pouvez indifféremment modifier le petit ou le grand logo, la source étant identique, les modifications seront de toute façon répercutées sur l’autre).

Mettre à jour en une fois des objets dynamiques liés complexes

Il s’agit ici de pousser plus loin le principe de la duplication d’un objet dynamique vu précédemment en jouant sur la possibilité de regrouper plusieurs calques dans un objet dynamique.
Nous avons vu qu’il est possible de créer un objet dynamique à partir de plusieurs calques (Quel que soit le type de calques, sachant notamment qu’un objet dynamique peut lui même contenir d’autres calques dynamiques…). Si ensuite vous dupliquez ce nouvel objet dynamique, les 2 objets créés seront liés. La modification de l’un (Quel que soit le nombre et le type de calques qu’il contient) entraînera automatiquement la mise à jour de l’autre objet dynamique lié.

Un exemple sera plus parlant. Le principe peut être utilisé pour créer deux flyers identiques sur une feuille A4 (chaque flyer prend la moitié de la page A4 en mode paysage : l’idée étant que les 2 flyers devront être séparés par découpe après impression). En utilisant les objets dynamiques, la modification d’un flyer entraînera automatiquement la mise à jour du second.
Objets dynamiques complexes liés par duplication

Chaque flyer correspond à un objet dynamique (les 2 flyers sont liés : la modification de l’un entraîne celle de l’autre)

Voici les grandes étapes à suivre :

  1. Créez le premier flyer sur la moitié de l’espace de travail (n’oubliez pas d’utiliser les objets dynamiques si vous avez des photos ou autres logos ; vous pourrez ainsi les redimensionner sans perte et même remplacer leur contenu facilement),
  2. Convertissez l’ensemble des calques composant ce flyer en un objet dynamique,
  3. Dupliquer cet objet dynamique (menu « Calque – Nouveau – Calque par copier » ou CTRL + J),
  4. Déplacez simplement le calque copié pour le mettre à l’emplacement laissé libre.

Si vous modifiez un des objets dynamiques (texte, photos, logo, cadre, couleurs…), le second sera automatiquement modifié à l’identique. Pratique non ?

Modification d'un objet dynamique complexe composé de plusieurs calques et lié à un autre objet dynamique par duplication

Contenu de l’objet dynamique : ensemble des calques composant le flyer de gauche

Pour ma part, je ne vois que des avantages aux objets dynamiques et aucun inconvénient… juste quelques limitations (par exemple certains filtres sont incompatibles…). Lorsque je créé des documents Photoshop, dans la mesure du possible, j’essaie que chaque action effectuée ne soit pas destructive et puissent être supprimée ou corrigée (c’est particulièrement important lorsque l’on fait un travail pour quelqu’un d’autre…). Les objets dynamiques répondent parfaitement à cette logique. Je me demande même comment on avait pu faire sans avant, tellement ça simplifie la vie du Photoshopeur ! S’il y avait un fan club des objets dynamiques, j’en ferai certainement parti… bon je n’ai pas cherché mais j’espère quand même que ça n’existe pas ;-).

Et vous ?Utilisez-vous les objets dynamiques ? déjà fan ? fan en devenir ? Voyez-vous d’autres avantages, d’autres utilisations que ceux évoqués dans cet article ?

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À propos de : Hervé (LuzPhotos)

Hervé Drouet, photographe professionnel au pays basque, spécialiste formation photo et rédacteur du blog LuzPhotos.

6 commentaires

  1. Voilà encore un tuto bien clair et bien expliqué.
    En effet, il semble bien difficile de se passer de ces objets dynamiques !
    Merci Hervé

  2. Suite à l’utilisation des objets dynamiques (je ne peux pas m’en passer 🙂 ) pour créer un flyer, j’ai ajouté la dernière partie à cet article (c’est un peu un mixte entre plusieurs utilisations déjà décrites mais qui méritait à mon avis un petit coup de projecteur)… soit une 10ème bonne raison d’utiliser les objets dynamiques !

  3. Bonjour,

    Concernant la conversion d’une photo en noir et blanc de photoshop CS6 sur Silver Efex Pro pensez vous qu’il soit préférable de convertir la photo en objet dynamique avant ?
    Les retouches SEP avec le pinceau sont désactivées quand on travail avec un objet dynamique mais j’ai l’impression que le rendu est plus net et plus lumineux !
    Merci pour vos conseils et votre avis.
    Brigitte MANGIONE

    • Oui je pense en effet qu’il est préférable de convertir la photo en objet dynamique avant d’appliquer le filtre de conversion noir et blanc Silver Efex.
      Silver Efex Pro 2 reconnait les objets dynamiques de Photoshop ; ce serait donc dommage de s’en passer !

      Si vous avez converti votre calque en objet dynamique avant de lancer Silver Efex, vous avez (au moins la première fois) le message suivant :
      « Silver Efex Pro 2 a déterminé que le calque actif est un objet intelligent et fonctionnera désormais comme un filtre intelligent. Le bouton Pinceau sera désactivé et l’effet sera appliqué au calque actuel. »

      Autrement dit : pour Nik Software, « objet intelligent » signifie « objet dynamique ». Le message indique que les effets du module seront appliqués en tant que filtre dynamique avec donc la possibilité de revenir à tout moment sur les réglages appliqués 🙂

      Quant au bouton « Pinceau » qui est désactivé, cela n’a pas vraiment d’importance puisque le pinceau de Silver Efex permet en fait de créer un simple masque de fusion Photoshop sur le calque pour appliquer l’effet de manière sélective.
      Si on souhaite reproduire l’effet de ce pinceau, le masque devra simplement être créé directement dans Photoshop (sans passer par l’intermédiaire du panneau « Selective Tool » de la Nik Collection) au niveau de la vignette précédant le libellé « Filtres dynamiques ».

      Enfin, concernant le rendu « plus net et plus lumineux », pour ma part, j’ai fait un petit test rapide et en appliquant exactement le même traitement Silver Efex à un calque ou à un objet dynamique, j’obtiens un résultat identique au pixel près (le contraire aurait d’ailleurs été très surprenant 😉 ).

  4. Si c est identique le résultat quel est l intérêt de faire un objet dynamique ? Je ne comprends pas

    • L’intérêt c’est de préserver l’image d’origine sur laquelle est appliqué l’effet du filtre tout en pouvant revenir comme on veut sur les réglages du filtre sans devoir repartir de zéro. L’objet apporte donc une grande souplesse d’utilisation. On travaille de manière non destructive sur l’image.

      Je vous invite à relire la partie Appliquer des filtres de manière dynamique qui explique l’intérêt de cette méthode. Et n’hésitez pas à me reposer des questions si ce n’est toujours pas clair.

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